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Tell me where it hurts

Les artistes néerlandais Fons van Dommelen et Ed van Rosmalen vous plongent dans les univers du travail et du sport d'un œil très caricatural avec leurs sculptures en résine peintes à la main. Colorées et pleines d'humour, leurs sculptures témoignent d'un véritable professionnalisme et d'un savoir-faire remarquable.

Sculpture Barman

It's fine, you can talk to me, I am your barkeeper.

Idée cadeau originale et humoristique pros de la mécanique!

Avec les figurines 'Profisti' les artistes Parastone Fons van Dommelen et Ed van Rosmalen n'ont eu de cesse que de capturer l'essence du vrai professionnel, le commerçant tipyque, l'artisan authentique: absorbé, parfois désordonné, et pourtant toujours dévoué.

Les artistes néerlandais Fons van Dommelen et Ed van Rosmalen vous plongent dans les univers du travail et du sport d'un œil très caricatural avec leurs sculptures en résine peintes à la main. Colorées et pleines d'humour, leurs sculptures témoignent d'un véritable professionnalisme et d'un savoir-faire remarquable.

Sculpture Chien Ballon Style Graffiti

La collection GRAFFITI est une gamme de sculptures en résine au style urbain décalé. Cette statue résine représentant un chien ballon est l'icône de la fantaisie! Le décor street art se mariera parfaitement à un intérieur sobre, pour y ajouter une touche d'originalité. A assortir avec un tableau urbain au mur pour encore plus de caractère!

Les artistes néerlandais Fons van Dommelen et Ed van Rosmalen vous plongent dans les univers du travail et du sport d'un œil très caricatural avec leurs sculptures en résine peintes à la main. Colorées et pleines d'humour, leurs sculptures témoignent d'un véritable professionnalisme et d'un savoir-faire remarquable.

Statue d'un Pompier exerçant sa Profession.

Figurine décoration d'un pompier en plein travail, la lance à la main prêt à éteindre un incendie.

Statuette Bricoleur des artistes caricaturaux néerlandais Fons van Dommelen et Ed van Rosmalen. Ici les deux artistes mettent l'accent sur la bricolage avec un personnage passionné, tout en appuyant sur les stéréotypes de bricoleur tel que la chemise à carreaux, la salopette, la ceinture porte-outils et encore plein d'autres détails.

Abel Robino roulait imperturbable sur sa magnifique moto. Il savait que les femmes étaient folles de lui. Elles adoraient ses beaux tatouages, son physique d’athlète et son séduisant profil. Robino, en revanche, n’avait d’yeux que pour sa belle moto. La seule chose qui l’intéressait au monde c’était foncer à Sturgis City pour assister,  en août, à la légendaire et fabuleuse compétition «Black Hills Motor Classic ». Après 10 ans ininterrompus à chevaucher sa bécane, il avait acquis de l’expérience et une grande confiance en soi mais ce qu’il avait surtout réussi à attraper, c’était une insupportable irritation aux fesses. Ne laissant rien apparaître sur son visage, il continua impassible sa route, tel un chevalier des temps modernes.

Le médecin de famille de Yoyo Ciliberti lui avait conseillé de faire un peu d’exercice parce que sa vie sédentaire allait lui causer des ennuis. Après avoir écarté le rugby par manque d’envergure, la boxe faute de courage et le basket pour des problèmes de stature, Yoyo chercha un sport qu’il pouvait pratiquer assis. Le cyclisme lui parut être l’activité idéale. Il s’acheta un « fixie » à pignon fixe, celle qu’on doit rétro pédaler pour freiner, et tous les accessoires allant avec. « Je dois commencer avec quelque chose qui mette mon physique à l’épreuve », se dit-il, convaincu. Il monta au sommet de la plus haute rue du village, celle qui était entièrement pavée, et s’élança. Au bout de dix mètres, il s’aperçut que freiner avec les jambes était plus compliqué qu’il ne croyait. Ces 400 mètres furent les plus longs de toute sa vie. Pendant les deux mois suivants, il dut s’asseoir précautionneusement sur un gros coussin de plumes moelleux. Il vendit sa bicyclette et joue désormais aux échecs en restant debout.